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Le projet entretient des collaborations avec les centres de recherche suivants :
- Université PARIS I (M. Cottrell) ;
- Université d'Orléans (R. Iasnogorodski) ;
- Université PARIS VI, Laboratoire de Probabilités, (J. Jacod) ;
- CNET PARIS A (L. Massoulié, J. Roberts, A. Simonian) ;
- École Polytechnique (F. Dunlop, J. Neveu) ;
- EHEI, Université PARIS V ( S. Aspandiiarov, E. Gelenbe) ;
- SUPELEC et ENSTA (P. Brémaud).
Un séminaire hebdomadaire a lieu à Rocquencourt, conjointement avec les projets FRACTALES et META2. L'organisation, côté MEVAL, en est confiée à J.-M. Lasgouttes.
G. Fayolle et V. Malyshev participent aux activités du centre A.M. Lyapounov, situé au sein de l'Université de Moscou et officiellement inauguré le 19 Décembre 1993. Ils sont co-responsables du projet intitulé Probabilités et analyse de grands réseaux, qui a été accepté pour une durée de deux ans, à partir de Juillet 1997. La partie russe fait intervenir des équipes du LLRS (Laboratoire d'analyse des grands systèmes, Université de Moscou) et le Laboratoire R. Dobrushin de l'IPPI (Institut des problèmes de transmission de l'information, dépendant de L'Académie des sciences) ; côté français participent 3 projets de l'INRIA (FRACTALES, META2, MEVAL).
- V. Malyshev fait partie du comité éditorial des revues russes Problems of Information Transmission et Fundamental and Applied Mathematics ; il est également fondateur et éditeur en chef du journal Markov Processes and Related Fields, G. Fayolle étant membre du comité de rédaction.
- G. Fayolle est membre du groupe de travail IFIP WG 7.3, qui comprend environ 80 membres élus et représente diverses communautés scientifiques intéressées par la modélisation des systèmes.
G. Fayolle et V. Malyshev collaborent avec les universités et centre de recherche de Leiden (Pays-Bas), Leuven (Belgique), Bielefeld et Braunschweig (Allemagne), Lund (Suède), Moscou (Département de probabilités de l'Université + IPPI, de l'Académie des Sciences de Russie), CWI (Pays-Bas), Cambridge et Newcastle (Angleterre).
De longue date, le projet entretient des contacts avec des
universités et centres de recherche américains (San Diego,
Monterey, Berkeley, Georgia Inst. of Tech., Bell Labs.) et russes
(Moscou, Novossibirsk).