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internationales
Le programme PRAXITèLE, qui avait donné lieu en 1993 à un consortium industriel regroupant l'INRIA, l'INRETS, la CGEA, DASSAULT AUTOMATIQUE, EDF et RENAULT, s'est achevé en Juin 1997. Il s'agissait d'étudier et de promouvoir un nouveau mode de transport public, basé sur l'utilisation de petits véhicules urbains, de préférence électriques, dont le parc serait géré par un système informatique s'appuyant sur un réseau de télécommunications. La relation contractuelle établie avec MEVAL, issue d'une proposition intitulée Problèmes de modélisation mathématique pour la conception de réseaux de véhicules électriques à usage collectif, a permis le développement de deux thèses (F. Delcoigne et F. Dumontet). Outre les modèles, les travaux comportent comportent un volet sur la conception de simulations rapides. Cette vaste thématique inclut également des équipes du centre scientifique franco-russe A.M Lyapounov. Les actions suivantes ont été menées cette année.
Participant : F. Dumontet
On a amélioré le simulateur, précédemment développé (cf. RA96) et
utilisé par l'INRETS pour la réalisation
d'études économiques. Un indicateur synthétique a été proposé,
portant sur la structure de la demande, afin de classer et de
comparer diverses configurations.
Participants : F. Delcoigne , F. Dumontet ,
G. Fayolle
Il s'agit de dimensionner correctement le système, en notant que
les paramètres (intensités des demandes) sont non stationnaires,
ce qui impose une politique de haut-le-pied, c'est à dire
de retour à vide. Des réponses partielles ont été apportées à ces
questions et le lecteur est aimablement renvoyé aux sections
et
.
Participant : MEVAL
Dans le cadre de la consultation thématique NO 5 lancée par FRANCE-TéLéCOM CNET, le projet a rédigé une proposition qui a été
acceptée. Elle prendra effet au début 1998, pour une durée de
trois ans. Deux thèmes sont concernés :
Schématiquement, les grandes lignes du contrat sont les suivantes :
Le but, ambitieux, est d'acquérir une compréhension
structurelle des phénomènes, afin d'établir une sorte de
typologie des réseaux ATM et large bande,
en les considérant comme essentiellement équivalents à un
ensemble de systèmes dynamiques, fonctionnant sous différentes
échelles de temps.